À La Poste, le travail tourne à la catastrophe. Derrière les beaux discours, la Direction organise une véritable foire d’empoigne où les mètres linéaires remplacent l’humain, où les réorganisations s’enchaînent sans répit, et où les postiers encaissent les coups.
Malgré les alertes répétées de la CGT, l’objectif emploi 2026 s’annonce encore pire que 2025 : moins de personnel, plus de pression, aucune reconnaissance. Les suppressions de postes, les fusions à répétition et les périmètres élargis transforment chaque journée en parcours du combattant. Pendant que La Poste retire les rails, elle demande aux agents de continuer à faire tourner le train.
Les “jeux” imposés par la Direction font toujours les mêmes perdants : les postiers. Congés compliqués à poser, primes réduites, QVT sacrifiée, moments conviviaux disparus, chèques cadeaux envolés, conditions de travail qui explosent… Tout est “perdu”. Et pourtant, la Direction continue de tirer sur toutes les ficelles, jusqu’à ce que ce soient les postiers qui tirent sur la corde.
La communication interne promet monts et merveilles, mais sur le terrain, tout se dégonfle : QVT en miettes, lutte contre les agressions inexistante, salaires figés, promotions dérisoires pour calmer le jeu. Deux passages en 3.1 par-ci, une pseudo “reconnaissance” par-là… juste de quoi faire illusion. Les agents voient la réalité : on tente d’acheter la paix sociale à coups de miettes.
Pourtant, il existe un moyen de sortir de ce manège fou. Reprendre de la hauteur, comprendre les enjeux, défendre réellement nos droits :
c’est en rejoignant la CGT que les postiers peuvent briser la spirale et reconstruire un avenir digne.
Les conquêtes sociales fondent vite, mais organisés, nous pouvons protéger ce qu’il reste… et en gagner de nouvelles.
Pour arrêter le manège infernal : rejoignez la CGT.
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